Auteur : Laëtitia Danaë
Édition : Plume Blanche
Nombres de page : 419
Résumé : (SPOIL)
Cette nouvelle existence de Santa Muerte est loin d’être de tout repos.
Avec le Memento Mori qui tombe en défaillance, Katell ne s'attendait certainement pas à ce que les événements tournent à une telle catastrophe.
Propulsée contre toute attente sur le devant de la scène, elle n’a d’autres choix que d’endosser ses responsabilités afin de rétablir l’ordre troublé.
Fin du Spoil
Mon avis :
Le premier tome est un livre que j'ai bien aimé et j'avais hâte de lire la suite. Voilà chose faite. Je ne vous ferais pas mon petit résumé habituel pour éviter de vous spoiler, car les événements s'enchaînent direct après le tome 1.
Roman
Pour commencer, tout comme le tome 1, la couverture est sublime et chaque début de chapitre l'est tout autant. Je suis totalement fan.
Au sujet du roman, j'ai adoré ce deuxième tome. On ne s’ennuie pas une seule seconde. Il y a de l'action, de l'intrigue, des mystères et l'envie de savoir qui est le grand méchant de l'histoire. Les pages défilent rapidement. On en apprend plus sur les Semeurs de vie et leur monde. Et puis il faut le dire, ce livre nous pousse aussi à la réflexion sur l'être humain. Le seul bémol est que j'ai trouvé la fin un peu simple.
Personnages
Au sujet des personnages, j'ai aimé les voir évoluer surtout Katell. Elle et les autres auront des choix difficiles à faire et ceux-là les feront grandir.
J'ai également aimé en découvrir plus sur Kimiko, Miséricorde et Ombeline. J'ai trouvé ces personnages attachants et certains m'ont mis la larme à l'oeil.
Et puis, il y a Aurora, qui m'a bien fait rire avec sa mauvaise humeur constante.
Auteur
Dans ce deuxième tome, j'ai trouvé la plume de l'auteur plus mature. J'ai aimé le monde des Semeurs qu'elle a créés et je suis triste que ce soit déjà la fin.
Résumé
Pour résumé, ce tome 2 m'a fait passé un bon moment de lecture auprès des Semeurs.
Extrait
- C'est faux, contra Osmose de son habituel ton monocorde.
Elle m'éplucha de la tête aux pieds avant de m'épingler, cette fois-ci munie d'un sourire redoutable :
- Nous ne sommes pas battues. Je l'ai éclatée.
- Je l'aime bien, celle-là, annonça Kimiko dans un petit rire satisfait. Allez, restez pas là, on va vous trouver un endroit où poser vos fesses de Cupidons.
- Je... Je n'ai pas dit que j'acceptais ! couina Aurora, mais ses plaintes se perdirent dans le brouhaha inattendu qui s'élevait.