Aujourd'hui, je souhaite vous présenter une personne que j'ai découverte il n 'y a pas longtemps : Patrice Sopel. Une belle rencontre qui m'a touchée, un auteur talentueux et une personne au grand cœur. Venez le découvrir avec cette interview et pourquoi pas vous laissez tenter par Tatanka.
Je te remercie d’avoir accepté de répondre à cette interview. Je suis vraiment honorée.
Bonjour, c’est moi qui suis honoré que tu t’intéresses à ma petite personne :)
1] Qu’est ce qui t’a poussé dans l’écriture ?
Ah l’écriture, elle est ma plus ancienne compagne ! Elle me suit depuis l’âge de huit ans. J’ai toujours été très imaginatif, même trop d’ailleurs. Cela fut un handicap durant de nombreuses années, car j’ai toujours été partagé entre la réalité et les mondes imaginaires, ce qui a entraîné pas mal de problèmes de concentration et de malentendus avec mon entourage (les gens ne comprennent pas les personnes différentes). Écrire ce que je voyais sous forme d’histoires fut rapidement devenu naturel, c’était même devenu un besoin. Mais malheureusement les aléas de la vie font que j’écrivais, arrêtais, puis recommençais...
2] As – tu des petites habitudes lorsque tu écris ?
Je crois savoir que tous les auteurs ont leurs petites habitudes et je ne fais pas exception ;) J’en ai plusieurs d’ailleurs, et elles ne répondent à rien de rationnel et sont périodiques. J’ai eu par exemple ma période du stylo encre. J’adorais utiliser une plume de très bonne qualité qui glissait toute seule sur le papier bien lisse. Ensuite ce fut la manie du criterium. J’aimais bien la facilité de correction en utilisant la gomme… J’ai également eu ma période clavier de l’ordinateur : terminé de recopier ce que j’écrivais sur les cahiers… Je suis finalement revenu au papier et j’écris actuellement avec des stylos encre gel. Je préfère me lever très tôt pour écrire, un peu avant 05 h 00 du matin. J’ai les idées très claires juste après le réveil, en plus de bénéficier du silence de la maison. Il peut également m’arriver de travailler un peu l’après-midi, si les conditions s’avèrent favorables…
3] Si tu devais choisir un auteur qui t’a inspiré, qui choisirais-tu et pourquoi ?
Là je réponds sans hésiter H.P Lovecraft, le Maître du fantastique, celui qui a bouleversé les standards de la littérature et a influencé de grands écrivains, comme Robert E. Howard (père de Conan le barbare), ou Stephen King ! Mes premières histoires utilisent grandement l’univers du fantastique, et après avoir lu Lovecraft, mon écriture ne fut plus jamais la même !
4] Quel style de roman ne pourrais–tu pas écrire et pourquoi ?
J’avoue avoir eu du mal au départ à répondre à cette question, car dernièrement de nouveaux thèmes me sont apparus dans des domaines qui m’étaient jusqu’alors étrangers. Mais je me sens actuellement incapable d’écrire du polar, car il s’agit du genre littéraire qui ne m’a jamais rien inspiré, et j’en ai d’ailleurs rarement lu, mis à part quelques San Antonio qui s’avèrent très particuliers... J’y suis mystérieusement hermétique… mais peut-être aurai-je un jour le déclic, pourquoi pas ?
5] Que ressens-tu lorsque tu lis une chronique ?
S’il s’agit d’une chronique qui me concerne, et cela commence à en faire pas mal en fait, j’avoue angoisser juste avant de la lire. Car un auteur est également un lecteur, et je sais ce qu’est ressentir la déception lorsqu’une histoire ne correspond pas à ce que l’on attendait. Et mon but premier, c’est que le lecteur vive une aventure par procuration et soit agréablement surpris. Heureusement pour moi, toutes les évaluations se sont révélées jusqu’à présent extrêmement positives, et j’en profite d’ailleurs pour remercier les lecteurs et lectrices qui m’ont fait confiance ; il y a profusion de romans grâce à internet, mais il est très difficile dans ces conditions de se démarquer, d’autant plus lorsque l’on provient d’une petite maison d’édition toute jeune qui plus est. Les gens sont frileux, ils sont souvent intéressés, mais beaucoup n’osent franchir le pas, par peur d’être déçus. Et je suis moi-même un illustre inconnu, ce qui n’arrange pas les choses !
Portrait personnel (précisez pourquoi)
- Si tu étais un indien, quel serait ton nom ?
« Celui qui chuchote dans le vent » m’irait bien, je pense. J’aime raconter des histoires ; les mots et les phrases constituent une mélodie portée par le timbre de la voix du conteur...
- Si tu pouvais vivre à une époque, laquelle choisirais-tu ?
Assurément le moyen-âge, mais pour habiter dans un château fort. J’adore les vieilles pierres aux épaisses murailles ; elles me procurent un sentiment de sécurité.
- Si tu devais avoir un animal totem, as ton avis, ça serait lequel ?
Au risque de paraître banal pour le coup, c’est le loup. Le loup est un animal de meute discret et très hiérarchisé. J’avoue que l’ordre me rassure…
- Si tu pouvais voyager dans l’espace, quelle planète aimerais-tu visiter ?
J’aimerais visiter des mondes lointains, hors du système solaire, dotés de nouvelles formes de vies. Je suis curieux de connaître les excentricités de la nature qui est loin de nous avoir révélé tous ses secrets…
- Si tu pouvais changer quelque chose dans ta vie, ce serait quoi ?
C’est moi que j’aimerais changer… En effet, je suis plutôt du genre paresseux, ce qui se ressent dans mes productions littéraires qui évoluent moins vite que je le devrais.
Bonjour, c’est moi qui suis honoré que tu t’intéresses à ma petite personne :)
1] Qu’est ce qui t’a poussé dans l’écriture ?
Ah l’écriture, elle est ma plus ancienne compagne ! Elle me suit depuis l’âge de huit ans. J’ai toujours été très imaginatif, même trop d’ailleurs. Cela fut un handicap durant de nombreuses années, car j’ai toujours été partagé entre la réalité et les mondes imaginaires, ce qui a entraîné pas mal de problèmes de concentration et de malentendus avec mon entourage (les gens ne comprennent pas les personnes différentes). Écrire ce que je voyais sous forme d’histoires fut rapidement devenu naturel, c’était même devenu un besoin. Mais malheureusement les aléas de la vie font que j’écrivais, arrêtais, puis recommençais...
2] As – tu des petites habitudes lorsque tu écris ?
Je crois savoir que tous les auteurs ont leurs petites habitudes et je ne fais pas exception ;) J’en ai plusieurs d’ailleurs, et elles ne répondent à rien de rationnel et sont périodiques. J’ai eu par exemple ma période du stylo encre. J’adorais utiliser une plume de très bonne qualité qui glissait toute seule sur le papier bien lisse. Ensuite ce fut la manie du criterium. J’aimais bien la facilité de correction en utilisant la gomme… J’ai également eu ma période clavier de l’ordinateur : terminé de recopier ce que j’écrivais sur les cahiers… Je suis finalement revenu au papier et j’écris actuellement avec des stylos encre gel. Je préfère me lever très tôt pour écrire, un peu avant 05 h 00 du matin. J’ai les idées très claires juste après le réveil, en plus de bénéficier du silence de la maison. Il peut également m’arriver de travailler un peu l’après-midi, si les conditions s’avèrent favorables…
3] Si tu devais choisir un auteur qui t’a inspiré, qui choisirais-tu et pourquoi ?
Là je réponds sans hésiter H.P Lovecraft, le Maître du fantastique, celui qui a bouleversé les standards de la littérature et a influencé de grands écrivains, comme Robert E. Howard (père de Conan le barbare), ou Stephen King ! Mes premières histoires utilisent grandement l’univers du fantastique, et après avoir lu Lovecraft, mon écriture ne fut plus jamais la même !
4] Quel style de roman ne pourrais–tu pas écrire et pourquoi ?
J’avoue avoir eu du mal au départ à répondre à cette question, car dernièrement de nouveaux thèmes me sont apparus dans des domaines qui m’étaient jusqu’alors étrangers. Mais je me sens actuellement incapable d’écrire du polar, car il s’agit du genre littéraire qui ne m’a jamais rien inspiré, et j’en ai d’ailleurs rarement lu, mis à part quelques San Antonio qui s’avèrent très particuliers... J’y suis mystérieusement hermétique… mais peut-être aurai-je un jour le déclic, pourquoi pas ?
5] Que ressens-tu lorsque tu lis une chronique ?
S’il s’agit d’une chronique qui me concerne, et cela commence à en faire pas mal en fait, j’avoue angoisser juste avant de la lire. Car un auteur est également un lecteur, et je sais ce qu’est ressentir la déception lorsqu’une histoire ne correspond pas à ce que l’on attendait. Et mon but premier, c’est que le lecteur vive une aventure par procuration et soit agréablement surpris. Heureusement pour moi, toutes les évaluations se sont révélées jusqu’à présent extrêmement positives, et j’en profite d’ailleurs pour remercier les lecteurs et lectrices qui m’ont fait confiance ; il y a profusion de romans grâce à internet, mais il est très difficile dans ces conditions de se démarquer, d’autant plus lorsque l’on provient d’une petite maison d’édition toute jeune qui plus est. Les gens sont frileux, ils sont souvent intéressés, mais beaucoup n’osent franchir le pas, par peur d’être déçus. Et je suis moi-même un illustre inconnu, ce qui n’arrange pas les choses !
Portrait personnel (précisez pourquoi)
- Si tu étais un indien, quel serait ton nom ?
« Celui qui chuchote dans le vent » m’irait bien, je pense. J’aime raconter des histoires ; les mots et les phrases constituent une mélodie portée par le timbre de la voix du conteur...
- Si tu pouvais vivre à une époque, laquelle choisirais-tu ?
Assurément le moyen-âge, mais pour habiter dans un château fort. J’adore les vieilles pierres aux épaisses murailles ; elles me procurent un sentiment de sécurité.
- Si tu devais avoir un animal totem, as ton avis, ça serait lequel ?
Au risque de paraître banal pour le coup, c’est le loup. Le loup est un animal de meute discret et très hiérarchisé. J’avoue que l’ordre me rassure…
- Si tu pouvais voyager dans l’espace, quelle planète aimerais-tu visiter ?
J’aimerais visiter des mondes lointains, hors du système solaire, dotés de nouvelles formes de vies. Je suis curieux de connaître les excentricités de la nature qui est loin de nous avoir révélé tous ses secrets…
- Si tu pouvais changer quelque chose dans ta vie, ce serait quoi ?
C’est moi que j’aimerais changer… En effet, je suis plutôt du genre paresseux, ce qui se ressent dans mes productions littéraires qui évoluent moins vite que je le devrais.
Question sur tes livres :
1] J’ai lu Tatanka et je t’avoue avoir été charmée par cette histoire. C’est un véritable coup de cœur. Comme je suis curieuse, peux-tu me dire comment t’ai venu l’idée ?
Ah, la grande question ! Je musardais sur youtube, lorsque je suis tombé sur cet extrait de la série « into the west », que je vous invite à visionner :
https://www.youtube.com/watch?v=uuyItiWes0U&feature=youtu.be&t=153
Le petit garçon, sauvé par son grand-père revenu d’entre les morts, fut pour moi la séquence mystique qui a tout déclenché. Je pensais retrouver cette magie tout le long de la série. Mais après avoir commandé les DVD il n’en était rien ; cela racontait « seulement » l’histoire de la colonisation des Amériques, certes un sujet intéressant, mais qui était bien loin de ce que j’attendais. J’ai cherché ensuite des livres de fantasy amérindiens mais sans succès. Puis les bisons mourants et la déesse Tatanka se sont invités dans ma tête sans crier gare !
2] Lors de ma lecture, j’ai ressenti de la passion pour ces peuples indiens et leurs légendes. Est-ce quelque chose qui te passionne ? Si oui, peux-tu me dire pourquoi ?
Comme je le disais, tout provient de cette vidéo. Le peuple amérindien m’a toujours été sympathique, mais je n’en savais guère sur eux comme d’ailleurs le commun des mortels. C’est en effectuant des recherches pour le roman (mythologie, modes de vie, etc.) que j’ai découvert la richesse extraordinaire de leur patrimoine culturel, souvent occulté par les films que l’on peut voir à la télévision ou au cinéma. Et lorsque l’on prend la peine de lire leurs légendes, on se rend compte qu’elles portent en elles les origines de l’humanité, nos origines, c’est quelque chose de profond qui vient de très loin. Leurs légendes s’avèrent être finalement un pan de notre passé depuis très longtemps oublié, voire refoulé, et dont seules les peintures rupestres de nos cavernes demeurent les derniers témoins (bisons). Leur passé s’avère tout bonnement une image du nôtre.
Comme je le disais, tout provient de cette vidéo. Le peuple amérindien m’a toujours été sympathique, mais je n’en savais guère sur eux comme d’ailleurs le commun des mortels. C’est en effectuant des recherches pour le roman (mythologie, modes de vie, etc.) que j’ai découvert la richesse extraordinaire de leur patrimoine culturel, souvent occulté par les films que l’on peut voir à la télévision ou au cinéma. Et lorsque l’on prend la peine de lire leurs légendes, on se rend compte qu’elles portent en elles les origines de l’humanité, nos origines, c’est quelque chose de profond qui vient de très loin. Leurs légendes s’avèrent être finalement un pan de notre passé depuis très longtemps oublié, voire refoulé, et dont seules les peintures rupestres de nos cavernes demeurent les derniers témoins (bisons). Leur passé s’avère tout bonnement une image du nôtre.
3] D’ailleurs, qu’est ce qui a été le plus dur a écrire dans ton roman ?
J’ai rencontré trois difficultés. Le début, pour accrocher le lecteur. Le chapitre numéro un actuel s’avère être initialement le chapitre deux. Mais une éditrice qui avait hésité à m’éditer, m’a conseillée de rendre le début plus dynamique. Ce que j’ai fait en inversant les deux premiers chapitres. J’espère avoir bien fait… Ensuite ce furent les dernières phrases de la fin pour conclure élégamment le roman. Je ne les voulais pas trop abruptes, afin de ne pas donner l’impression aux lecteurs de terminer trop vite l’histoire ! La troisième difficulté et non la moindre, fut de concevoir le résumé pour le quatrième de couverture. D’ailleurs j’exècre devoir effectuer un résumé, cela me semble insurmontable, j’ai toujours l’impression qu’il manque quelque chose et que je dessers l’histoire. D’ailleurs, lorsque l’on me demande de parler de mon livre, j’avoue ne pas être son meilleur représentant, je ne possède aucun talent commercial...
J’ai rencontré trois difficultés. Le début, pour accrocher le lecteur. Le chapitre numéro un actuel s’avère être initialement le chapitre deux. Mais une éditrice qui avait hésité à m’éditer, m’a conseillée de rendre le début plus dynamique. Ce que j’ai fait en inversant les deux premiers chapitres. J’espère avoir bien fait… Ensuite ce furent les dernières phrases de la fin pour conclure élégamment le roman. Je ne les voulais pas trop abruptes, afin de ne pas donner l’impression aux lecteurs de terminer trop vite l’histoire ! La troisième difficulté et non la moindre, fut de concevoir le résumé pour le quatrième de couverture. D’ailleurs j’exècre devoir effectuer un résumé, cela me semble insurmontable, j’ai toujours l’impression qu’il manque quelque chose et que je dessers l’histoire. D’ailleurs, lorsque l’on me demande de parler de mon livre, j’avoue ne pas être son meilleur représentant, je ne possède aucun talent commercial...
4] Maintenant, parlons de ton roman « L'erreur est humaine ». Que peux-tu nous dire dessus ?
Je vois que tu as effectué quelques recherches sur amazon ! (rires) Il ne s’agit pas d’un roman mais d’une nouvelle de science-fiction en auto-édition numérique.Pour tenter de résumer (horreur!), les Terriens possèdent de lointaines colonies et ont déclenché la colère d’une race extra-terrestre appelée : « les sans-visages ». Un croiseur, l’Impromptor, est chargé d’acheminer un convoi de ravitaillement sur la ligne de front située à quatre années lumières de la Terre. Il doit passer en hyper-espace, mais pour ce faire, la trajectoire doit être dégagée de tout obstacle. Or, une planète non répertoriée se trouve sur leur route, et il faut la détruire pour envisager le saut. Un vaisseau très sophistiqué de nature inconnue surgit à son tour, et menace de terribles représailles l’espèce humaine si cette planète est détruite. S’agit-il d’un bluff de la part des sans-visages pour retarder l’approvisionnement sur la ligne de front, ou bien ont-ils affaire à une race extra-terrestre inconnue dotée d’une technologie défiant l’imagination ? Que décideront les Terriens ?
Cette nouvelle s’inscrit dans la ligne d’influence de H.P. Lovecraft ; en effet, l’humain ne se trouve pas au centre de l’histoire, mais constitue simplement une composante insignifiante à l’échelle de l’univers. La fin pourrait en surprendre plus d’un, comme j’aime le faire d’ailleurs dans mes récits…
Je vois que tu as effectué quelques recherches sur amazon ! (rires) Il ne s’agit pas d’un roman mais d’une nouvelle de science-fiction en auto-édition numérique.Pour tenter de résumer (horreur!), les Terriens possèdent de lointaines colonies et ont déclenché la colère d’une race extra-terrestre appelée : « les sans-visages ». Un croiseur, l’Impromptor, est chargé d’acheminer un convoi de ravitaillement sur la ligne de front située à quatre années lumières de la Terre. Il doit passer en hyper-espace, mais pour ce faire, la trajectoire doit être dégagée de tout obstacle. Or, une planète non répertoriée se trouve sur leur route, et il faut la détruire pour envisager le saut. Un vaisseau très sophistiqué de nature inconnue surgit à son tour, et menace de terribles représailles l’espèce humaine si cette planète est détruite. S’agit-il d’un bluff de la part des sans-visages pour retarder l’approvisionnement sur la ligne de front, ou bien ont-ils affaire à une race extra-terrestre inconnue dotée d’une technologie défiant l’imagination ? Que décideront les Terriens ?
Cette nouvelle s’inscrit dans la ligne d’influence de H.P. Lovecraft ; en effet, l’humain ne se trouve pas au centre de l’histoire, mais constitue simplement une composante insignifiante à l’échelle de l’univers. La fin pourrait en surprendre plus d’un, comme j’aime le faire d’ailleurs dans mes récits…
5] As-tu d’autres projets d’écriture ?
Oh que oui et beaucoup en plus ! Parlons d’abord du plus abouti, pratiquement terminé, et qui me tient le plus à cœur, puisqu’il s’agit d’une jolie romance qui se passe de nos jours en Andalousie, sur fond de martyr des lévriers : les âmes assassinées ( https://www.facebook.com/LivreAmes/ ). Très peu de personnes connaissent son existence pour le moment, je vous mets donc dans la confidence ! L’histoire traite de la maltraitance animale et humaine, l’exploitation, la cruauté, mais fort heureusement aussi l’espoir ainsi que la compassion… Des sujets difficiles et complexes, car je ne voulais pas tomber dans le trash ou le voyeurisme. Je me suis efforcé d’équilibrer le roman. Les personnes qui aiment les animaux devraient adorer cette histoire ;)
Il y aura durant les prochains mois et années beaucoup de travail à effectuer : un roman de science-fiction traitant du transhumanisme sur fond de conspiration ; un autre sur le dopage bio-mécanique légalisé dans le sport après une catastrophe planétaire ; un roman fantastique qui nous plongera au cœur de la seconde guerre mondiale en compagnie des chiens de combat lors du débarquement sur l’île de Guam dans le pacifique ; enfin, un autre sujet fantastique qui m’est tombé dessus récemment, l’odyssée d’une meute de chiens perdue au beau milieu d’un monde redevenu sauvage après la quasi disparition de l’être humain (il en reste très peu)… Mais également la suite de Tatanka : le Coureur des Grandes Plaines...
Avec tout ça, j’ai de quoi faire !
6] Veux-tu rajouter quelques mots ?
Ce roman m’a permis de rencontrer des personnes formidables, que ce soit en vrai ou virtuellement sur les réseaux sociaux. À chaque fois qu’un lecteur ou une lectrice me parle émerveillé de Tatanka, ce n’est que du bonheur. Grâce aux excellents retours je suis désormais apaisé, car je sais maintenant grâce à vous tous qu’il s’agit d’un roman de très grande qualité. Un auteur honnête ne peut déterminer lui-même si son ouvrage est bien, il doutera toujours...
Un énorme merci pour tes réponses et cette superbe interview.
C’est moi qui te remercie pour cette interview, cela m’a fait très plaisir. Je me tiens à ta disposition en cas de besoin. Bonne journée à toi et ta famille ! :)
Oh que oui et beaucoup en plus ! Parlons d’abord du plus abouti, pratiquement terminé, et qui me tient le plus à cœur, puisqu’il s’agit d’une jolie romance qui se passe de nos jours en Andalousie, sur fond de martyr des lévriers : les âmes assassinées ( https://www.facebook.com/LivreAmes/ ). Très peu de personnes connaissent son existence pour le moment, je vous mets donc dans la confidence ! L’histoire traite de la maltraitance animale et humaine, l’exploitation, la cruauté, mais fort heureusement aussi l’espoir ainsi que la compassion… Des sujets difficiles et complexes, car je ne voulais pas tomber dans le trash ou le voyeurisme. Je me suis efforcé d’équilibrer le roman. Les personnes qui aiment les animaux devraient adorer cette histoire ;)
Il y aura durant les prochains mois et années beaucoup de travail à effectuer : un roman de science-fiction traitant du transhumanisme sur fond de conspiration ; un autre sur le dopage bio-mécanique légalisé dans le sport après une catastrophe planétaire ; un roman fantastique qui nous plongera au cœur de la seconde guerre mondiale en compagnie des chiens de combat lors du débarquement sur l’île de Guam dans le pacifique ; enfin, un autre sujet fantastique qui m’est tombé dessus récemment, l’odyssée d’une meute de chiens perdue au beau milieu d’un monde redevenu sauvage après la quasi disparition de l’être humain (il en reste très peu)… Mais également la suite de Tatanka : le Coureur des Grandes Plaines...
Avec tout ça, j’ai de quoi faire !
6] Veux-tu rajouter quelques mots ?
Ce roman m’a permis de rencontrer des personnes formidables, que ce soit en vrai ou virtuellement sur les réseaux sociaux. À chaque fois qu’un lecteur ou une lectrice me parle émerveillé de Tatanka, ce n’est que du bonheur. Grâce aux excellents retours je suis désormais apaisé, car je sais maintenant grâce à vous tous qu’il s’agit d’un roman de très grande qualité. Un auteur honnête ne peut déterminer lui-même si son ouvrage est bien, il doutera toujours...
Un énorme merci pour tes réponses et cette superbe interview.
C’est moi qui te remercie pour cette interview, cela m’a fait très plaisir. Je me tiens à ta disposition en cas de besoin. Bonne journée à toi et ta famille ! :)